UNE SAINTE HAINE
Tout comme il y a en ce monde le jour et la nuit, le bien et le mal, il y a aussi l’amour et la haine. Dans la nouvelle terre sous les nouveaux cieux il n’y aura que le bien, que le jour, que l’amour. Le mal, la nuit et la haine seront confinés dans le lac de feu. Mais pour l’instant nous sommes confrontés à cette dualité, et heureusement que nous savons que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu (Ro. VIII : 28), et ainsi la nuit nous permet de reprendre des forces par un sommeil profond, le mal nous permet de glorifier Dieu en le vainquant par le bien, et quant à la haine c’est le sujet que je désire aborder aujourd’hui.
En général la haine est considérée comme un péché quand elle se porte sur quelqu’un. C’est un fait que notre Seigneur nous a ordonné d’aimer nos ennemis et de ne pas les haïr (Mat. V : 44). Cependant il existe une haine sainte qui en fait ne se porte pas sur nos ennemis personnels. Si nous haïssons quelqu’un pour des raisons personnelles nous péchons. C’est inutile de citer les versets qui dans le NT nous enseignent la loi de l’amour, car ils sont nombreux et clairement nous montrent que nous devons aimer tout le monde, même nos ennemis les plus acharnés. Cela ne signifie pas que nous devons leur tendre la joue chaque fois qu’ils nous frappent, ou leur donner automatiquement notre subsistance quand par exemple nos proches sont dans le besoin. Cela signifie que même si nous leur opposons parfois résistance, nous prions pour eux en demandant à Dieu qu’Il leur ouvre les yeux, et les amène à la repentance et au salut. Le fait est que « la crainte de Jéhovah c’est de haïr le mal » (Prov. VIII : 13).
En effet tout chrétien doit haïr certaines attitudes, doctrines, philosophies qui vont contre la doctrine des apôtres, contre la morale judéo-chrétienne et contre la piété (2 Cor X : 5). Tout ça c’est facile à comprendre et même à pratiquer, mais le problème devient plus épineux quand le mal s’incarne dans des personnes. Doit-on les haïr ? Bien sûr que notre ligne de conduite doit être de haïr le péché mais d’aimer le pécheur. Nous sommes nous-même des pécheurs et rappelons-nous que même quand nous étions incroyants Dieu nous aimait, puisqu’il est écrit que «Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous » (Ro. V: . Néanmoins il y a des cas particuliers où il nous est demander de ne pas aimer certaines personnes; ce qui ne signifie pas automatiquement de les haïr mais au moins de ne pas prier pour elles. Dieu nous dit dans certains cas : « Doit-on secourir le méchant, et aimes-tu ceux qui haïssent Jéhovah ? » (2 Chr. XIX : 2). Oui il est vrai que notre Seigneur nous dit de prier pour ceux qui nous persécutent, de prier pour nos ennemis, mais il ne dit jamais : « Priez ou aimez les ennemis de Dieu ». Nous sommes tous ennemis de Dieu par naissance, car nous naissons pécheurs et donc en inimitié avec Dieu. Néanmoins les fœtus, les bébés, les petits enfants, les chrétiens nés de nouveau jouissent tous de l’amour de Dieu. Quant au reste ils ne jouissent pas tous de son amour, mais de sa patience et de sa bonté. Certains se repentiront et deviendront aussi des chrétiens régénérés par le Saint-Esprit et à cause de ceux-ci nous devons constamment prier pour nos ennemis et les aimer. Néanmoins il y a des personnes pour lesquelles il ne faut pas prier, car comme dit J. V : 16 : «Il y a un péché qui mène à la mort ; ce n‘est pas pour ce péché là que je dis de prier ». Il y a en effet un péché impardonnable, et c’est le péché contre le Saint-Esprit. Pour ceux qui le commettent ; il est inutile de prier : leur destin est révélé à ceux qui ont les ont vu commettre ce péché et il est scellé. Je suis d’accord avec J. Calvin et d’autres théologiens que ce péché est le péché d’apostasie, et donc les apostats sont des ennemis de Dieu pour lesquels il ne faut pas prier. Il y a des apostats douteux, pour lesquels on peut encore prier, mais il y a des apostats certifiés pour lesquels c’est inutile de gaspiller nos prières d’intercession.
Comme être chrétien c’est être imitateur de Jésus notre Seigneur (1 Co. XI : 1), voyons quelle fut l’attitude de l’Homme modèle que nous devons suivre. Dans la vie de notre Seigneur on voit 2 sortes d’hommes pour lesquels Jésus n’éprouvait pas d’amour, ni ne priait pour leur salut : le fils de perdition (J.XVII : 12), et les hautes autorités religieuses juives qui perfidement et obstinément s’opposaient à Lui. Croyez-vous que notre Seigneur priait pour la conversion de Judas Iscariote ? Ne l’avait-il choisi justement pour que s’accomplisse l’Ecriture qui le concernait et le désignait comme le traitre suprême ; le fils de perdition et le type même de l’Antéchrist eschatologique qui sera probablement un pape (2 Ts. : 3, 4)… Certainement notre le Seigneur le traitait comme un ami, mais il ne l’estimait pas comme un ami, car il savait parfaitement qu’il serait possédé par Satanas à la fin. De même notre Seigneur ne priait pas pour les pharisiens, les saducéens, les scribes endurcis dans leur péché. Car ils péchaient contre le Saint-Esprit ; ils ne s’opposaient pas à Lui par ignorance comme le fit Saul de Tarse (1 Ti. I : 13), mais justement comme Hérode ils connaissaient ses prérogatives de Roi des rois et de souverain pontife suivant l’ordre de Melchisédech. Comme Hérode ils voyaient avec Sa venue à la lumière des Ecritures, comme la fin probable de leur ministère, de leur gloire et de leur source de revenu et de privilèges. Souvent on utilise la phrase qu’il dit quand il fut crucifié pour affirmer que nous devons prier et aimer tous les hommes même les antichrists. C’est vrai qu’il dit : « Père, pardonne-leur car ils ne savent pas ce qu’ils font ». Néanmoins cela ne concernaient pas les auteurs intellectuels de ce crime atroce, cela concernait les gens manipulés par l’élite sacerdotale, que ce soit l’autorité romaine ou le peuple juif. A cette autorité religieuse qui ne péchait pas par ignorance mais qui craignant justement que Jésus soit le Messie, cherchaient depuis 3 ans à l’assassiner, à ceux-là il ne leur dit pas : « repentez-vous » mais plutôt : « Vous aussi comblez la mesure de vos pères. Serpents, génération de vipères. Comment échapperez-vous de la condamnation de l’enfer ?” (Mt. XXIII: 32, 33). Jésus haïssaient ces gens-là car comme dit David un type du Christ dans l’AT: “Ils prennent ton Nom pour mentir eux tes ennemis. Jéhovah n’aurai-je pas de la haine pour ceux qui te haïssent ? Je les hais parfaitement ils sont pour moi des ennemis! » En effet leur dire de combler la mesure de leurs pères c’est leur dire de s’enfoncer plus profondément en enfer, et cela n’a rien à voir avec l’amour de Dieu mais uniquement avec le jugement de Dieu qui est conforme à la justice, et tous ceux dont le cœur est droit l’approuveront (Ps. XCII : 15)…
Maintenant certains diront que c’était leur péché qu’il haïssait, pas leur personne. Néanmoins chez les antichrists, le péché contre le Saint-Esprit n’est pas dû à une ignorance sinon à un calcul froid et conscient contre la Vérité. Ce ne sont pas des victimes du péché mais des artisans qui l’élaborent de façon habile, et méthodique, dans le but de s’élever et de s’assoir dans le temple de Dieu comme une autorité approuvée divinement, et certains se faisant même passer pour Dieu (2 Ts. II : 4). Ils agissent donc contre Dieu directement ; contre le Dieu qu’ils connaissent à travers les saintes Ecritures, mais qu’ils détestent sciemment. Evidemment notre Seigneur Jésus connaissait ce qu’il y avait dans le cœur des hommes et donc il pouvait haïr saintement par amour pour Dieu, non par réaction naturelle. Mais nous, me direz-vous, nous n’avons pas son omniscience et donc pouvons errer grandement, et haïr un Saul de Tarse qui est sur le point de devenir un apôtre des païens. C’est vrai et Il nous faut donc bien nous garder de haïr quiconque excepté les antichrists notoires dont la perdition est publiquement scellée. Qui sont-ils ?
Comme bon protestant, fils spirituel de Martin Luther, je n’ai aucune hésitation à vous déclarer que tous les papes sont des antichrists garantis par le prince de ce monde, et qu’aimer le pape et prier pour lui, c’est comme prier pour le diable son père ! Un homme pécheur qui se fait appeler : Vicaire du Fils de Dieu blasphème contre le Saint-Esprit. En effet le vicaire, ou suppléant, du Fils de Dieu c’est le Saint-Esprit. Cela est d’ailleurs tellement évident que le titre VICARIVS FILII DEI donne 666 si on additionne les lettres romaines qui sont des chiffres. En effet VI+IV+I+LII+D+I = 666 ! (En caractères latins originaux le U s’écrivait V). Ainsi donc, tout comme nous les protestants nés de nouveau sommes les ambassadeurs de Christ, de même les antichrists sont les ambassadeurs du diable. Or tout ambassadeur qui est envoyé à un pays étranger pour représenter et défendre les intérêts du gouvernement de son pays connait la langue et la culture du pays où il est en mission. Les antichrists papaux connaissent le peuple de Dieu, ses doctrines. Ils connaissent aussi la volonté de celui qui les envoie nous combattre ou nous confondre. Ce qu’ils doivent parfois confondre c’est le nom de Satan avec celui de leurs vierges…
Evidemment je ne suis pas rempli de haine personnelle contre ce pauvre George Marie Bergoglio, puisque grâce à Dieu je ne le connais pas personnellement, mais je hais François 1er en tant qu’ambassadeur du diable. Je hais sa politique et son discours trompeur qui apparente un amour universel mais qui en fait a pour but la destruction du peuple saint, le faisant passer pour de dangereux fanatiques qui attisent la haine religieuse et provoquent les attentats et les guerres de religion. François 1er est l’antichrist le plus dangereux qui existe actuellement. Il est l’autorité suprême pour des millions de catholiques, et il est lui aussi l’homme du péché qui cherche à s’assoir dans le temple de Dieu et se fait passer pour Dieu avec son dogme de l’infaillibilité papale ; dogme établi en 1870. Il est plus malin que ses antécesseurs, et ce n’est pas étrange puisque c’est un jésuite ! Ecoutez ses beaux discours plein d’humilité et de compassion ; il est même tellement compatissant et humble qu’il n’ose même porter un jugement sur les sodomites ! Mais a-t-il annulé le dogme de l’infaillibilité papale ? Bien sûr que non ; cela n’aura jamais lieu aussi longtemps que le Vatican existera ! On ne juge pas une religion sur des déclarations faites au cours d’entrevues médiatiques, ou sur le dernier message colporté par les réseaux sociaux.… On juge une religion sur ses dogmes, et les dogmes du catholicisme romain font que le pape soit toujours un antichrist notoire.
Martin Luther fut très prolifique sur ce thème et c’est dommage que la majorité des protestants aient oublié son enseignement. Il détestait parfaitement la hiérarchie papale et disait en parlant du pape: « Si je meurs que Dieu permette qu’un autre te traite 1000 fois plus durement que moi-même. En effet la papauté satanique est le dernier malheur de la terre, et le plus grand que les diables avec toute leur puissance parviennent à inventer. Que Dieu nous soit en aide. Amen ! » Beaucoup critiquèrent et critiquent le père de la Réforme protestante pour sa sainte haine envers le pape et ses acolytes. Même son ami et proche collaborateur Philippe Mélanchton essayait de le calmer et de lui faire modérer son langage. Mais c’était en vain car plus Luther avançait dans sa lutte pour la cause de l’Evangile, plus il haïssait le pape et ses collaborateurs. Hélas de nos jours peu son ceux qui éprouvent et cultivent cette sainte haine contre la bête aux 7 têtes ; contre le pire antichrist que le diable possède dans ses rangs. Nous avons honte de protester contre la bête au 7 têtes ; en fait nous ne sommes plus des protestants ! Il nous faut pourtant promouvoir cette sainte haine qui ne demande pas que nous prenions les armes et massacrions physiquement les gouverneurs des ténèbres de ce monde, car notre lutte n’est pas charnelle et nos armes ne sont pas matérielles, mais elle sont puissantes par la vertu de Dieu pour renverser les raisonnements et toute hauteur qui s’élève contre la connaissance de Dieu, et amener toute pensée captive a l’obéissance de Christ (2 Co. X : 5) ! Nous ne sommes pas des djihadistes qui posons des bombes, sinon que nous nous efforçons de détruire les arguments de nos ennemis par l’utilisation de la Bible, de la raison, et de l’Histoire. Je suis sidéré quand je vois la léthargie profonde dans laquelle sont plongés le peuple évangélique et même le monde politique. En effet ce petit Etat du Vatican possède plus d’or que la réserve fédérale des Etats-Unis, il frappe ses propres euro avec l’effigie de Jean Paul II ; euro qui sont d’ailleurs collectionnés par les amateurs… Cet Etat a investi dans tous les négoces, même dans certains négoces de la mafia (achats de faux bons d’Etat du gouvernement américain dans les années 60…) Il a de même torturé et bruler sur la place publique des milliers de personnes par le biais de son Inquisition. En fait en 6 siècles si on compte les victimes qui sont tombées du fait de leurs manigances, le chiffre s’élève à 67 millions. (N’oublions pas qu’ils utilisent les pouvoirs publics pour faire le sale boulot, ils ne le font jamais directement. L’Inquisition condamnait, et le pouvoir séculier exécutait la sentence qui plaisait à ces dominicains. De même selon l’information que révéla Albert Rivera, un ancien jésuite repenti, ils étaient derrière, les croisades, la création de l’islam, la guerre de Sécession la révolution bolchévique, le nazisme). http://www.chick.com/reading/comics/0334/0334_allinone.asp
Or il faut bien avoir en tête que les dogmes de la foi papiste sont aujourd’hui bien pires que ceux qui prévalaient du temps de Luther. L’infaillibilité papale et la déification mariale (dogme de l’immaculée conception et de l’Assomption) n’étaient pas établies au XVIème siècle sinon qu’elles le furent au XIXème et XXème siècle. Le loup a perfectionné son habit de brebis, mais si on regarde au-delà des déclarations médiatiques, et que l’on se penche sur les dogmes qui établissent le catholicisme romain, on se rend compte que tout est prêt doctrinalement pour l’entrée en scène de l’Antichrist eschatologique qui sera le dernier césar du nouvel empire romain (l’actuel UE), et se fera passer pour Dieu, réclamant une adoration universelle dans les dernières années de son règne, (3 ans et ½ ; la seconde moitié de la semaine 70 de Daniel…)
Hélas aujourd’hui l’antichrist papal en fonction (François 1er) est considéré comme un homme de paix alors qu’il est comme tous les autres papes ; l’antichrist favori du diable. Beaucoup minimisent le rôle du pape dans le monde actuel. Mais en vérité il est celui qui a le plus d’influence politique. Personne ne peut rassembler une foule immense pour l’écouter comme le fait le pape. Ni un président, ni une étoile du spectacle, ni même la finale du mondial de football ! Son influence est réelle et c’est l’homme le plus respecté de la planète. De plus, aujourd’hui le pape en fonction est un jésuite, ce qui veut dire qu’il suit docilement les instructions de son général : le pape noir. Or le but et la raison d’être des jésuites c’est que tout genou se plie devant le pape et le confesse comme le Vicaire du Fils de Dieu. N’oublions pas non plus que les jésuites ont la clef du coffre-fort du Vatican, et donc possèdent un pouvoir immense qui leur permet de provoquer des crises économiques, ou de subventionner des révolutions (F. Castro est un jésuite coadjuteur temporel), ou de payer des pots de vin pour manipuler les politiciens et les gouvernants dont la morale de nos jours est plus que douteuse… C’est donc une ingénuité dangereuse que de s’imaginer que le Vatican a perdu ses aspirations au pouvoir absolu qu’il put maintenir presque 1000 ans jusqu’au jour où éclata la Réforme protestante. Les jésuites ont si bien travaillé qu’ils ont infiltré les séminaires et les instituts bibliques où se forment les pasteurs, de façon à ce que l’esprit œcuménique papiste les rende complètement inoffensifs. Quelle misère règne aujourd’hui dans les églises qui osent se dire protestante, alors que jamais vous n’entendrez s’élever la voix d’un ministre de la Parole et alerter les frères sur le danger papiste, comme le faisaient si souvent Luther et les autres réformateurs, et même certains pasteurs fidèles comme Spurgeon au XIXème, et L. Jones au XXème ! Où entendrez-vous dire aujourd’hui dans une église protestante ce que disait Luther : « Entends-tu, pape, qui n’es pas le Très Saint Père, mais le plus grand pécheur ? Que Dieu détruise au plus vite du haut du Ciel, ton siège, et le précipite au fond de l’enfer ! C’est Satan le mauvais qui ment par ta voix et par ta plume…Je voudrais voir tous les pupitres de prédication, les couvents, les abbayes, les chapelles en flammes, et que tout cela soit réduit en cendre et en poussière à cause de l’horrible séduction des pauvres âmes… nous devons détruire l’idolâtrie du pape… la curie romain, le pape ; évêque de cette cour est l’évêque du diable, le diable incarné… Je confesse que souvent j’ai été trop violent, mais jamais quant au pape. La tête de l’Antichrist c’est le pape et en même temps c’est le Turc (les musulmans). Le pape c’est l’esprit et le Turc c’est la chair », et dans son testament graphique « images de la papauté », il écrit : « A chaque diable est dévolu un nom. Ainsi pour le pape : il le révèle maintenant. Il est le véritable Antichrist qui est annoncé dans l’Ecriture… Le pape seul peut interpréter l’Ecriture et balayer l’erreur, comme l’âne peut seul siffler et capter correctement les notes». Hélas Luther s’est souvent souillé en utilisant un langage grossier, en disant des gros mots, ce qui a desservi la Cause. Mais sa haine du « satanissime pape » (expression qui lui était particulière) était une sainte haine qu’il serait bon de raviver dans le peuple saint, car « la crainte de Jéhovah c’est la haine du mal », et le mal s’incarne toujours dans les antéchrists romains. Cette haine il faut la perfectionner et Luther est un bon maitre pour cela ; c’est mon préféré en tout cas, et il fut en premier lieu celui qui m’engendra par ses écrits dans l’Evangile de la grâce… De toutes les façons tous les protestants sont redevables a Luther qui fut le David que Dieu choisit pour défier le Goliath du Vatican et libérer son Eglise.
Dans Ap. II nous voyons le Seigneur reprendre l’église d’Ephèse pour son manque d’amour (v. 4), mais au verset 6 il la félicite pour sa haine des œuvres des Nicolaïtes. Néanmoins si on pouvait comparer aujourd’hui les œuvres des Nicolaïtes avec celles des papes ; elles ressembleraient à une esquisse en face d’une fresque. Il y a donc une bonne note pour ceux qui haïssent les œuvres du Vatican ! Maintenant je suis sûr que certains me diront qu’effectivement il faut haïr les œuvres des pécheurs, mais pas les pécheurs. Je suis tout à fait d’accord mais dans le cas des antichrists, c’est différent spécialement chez les papes. En effet l’homme qui devient pape s’identifie tellement avec sa fonction qu’il adopte officiellement un nouveau nom ; ce n’est pas un surnom, c’est un nom officiel. Aujourd’hui George Marie Bergoglio s’appelle François 1er. Je suis bien désolé pour George et j’aurai prié pour lui avant qu’il ne devienne François I. Mais maintenant son destin est scellé éternellement, il est devenu l‘antichrist romain de tour. Et je crois même qu’il est le prédécesseur de l’Antichrist eschatologique ; le prochain pape, le pape # 6 (voir mon article « L’antichrist #5 »)… Beaucoup diront que je suis fanatique, mais en fait je suis réaliste pour 3 raisons : 1 la doctrine, 2 l’Histoire, 3 l’expérience personnelle.
La doctrine.
La doctrine du salut suivant l’antichrist romain a toujours été un mélange de grâce et d’œuvres. (Autant essayer de mélanger de l’huile avec de l’eau).Or dit l’Ecriture « Si c’est par la grâce ce n’est plus par les œuvres autrement la grâce n’est plus grâce, Et si c’est par les œuvres, ce n’est pas par grâce autrement l’œuvre n’est plus une œuvre ». Avec François 1er on va plus loin dans l’hérésie car la grâce peut être manifestée sans la foi et un bon athée qui aime ses voisins va au ciel… En fait les doctrines sotériologiques du christianisme biblique ont été depuis longtemps éliminées et remplacées par des décrets et des doctrines humanistes inspirées par le diable. Cela leur a permis depuis des siècles de pratiquer a fond l’idolâtrie et la simonie. Marianisme et papisme sont les 2 mamelles du Vatican !
L’Histoire.
L’histoire du papisme est un fleuve de sang versé qui coule dans la vallée des mensonges fabuleux (du style « La donation de Constantin »), et qui serpente à travers la « pornocratie marozienne » (904-963), puis passe sous des ponts luxueux qui relient le pouvoir temporel et la luxure, pour déboucher finalement sur un océan de richesses accumulées durant des siècles avec la sueur et les souffrances indicibles des nations qui ne lui barrèrent pas le chemin. Savez-vous qu’encore aujourd’hui le pape reçoit automatiquement une partie des impôts nationaux sur le culte ? Cela de la poche de chaque allemand qui ne remplit un formulaire exprimant sa volonté de ce que cet impôt aille ailleurs. Et savez-vous que cette loi fut promulguée par le gouvernement nazi ? Vous rendez-vous compte que là où le catholicisme romain a régné, a régné aussi la dictature et la superstition, tandis que là où a régné son grand ennemi le protestantisme, s’est établi la démocratie et l’alphabétisation automatique des masses ?
L’expérience.
Mon expérience personnelle me confirme aussi que la haine de ce système avec son pape à la tête est une chose saine indispensable à la bonne santé spirituelle. En effet j’ai grandi dans une culture catholique romaine, et le jour où je suis né de nouveau ce ne fut pas durant une messe ! Au contraire ce qui m’a pendant 10 ans empêché de comprendre le salut par la foi ce fut cette culture qui inculque le salut par les bonnes œuvres. En effet imbu de l’esprit catholique du salut par la pauvreté, la chasteté, l’imitation de ses « saints », j’ai même cru que chercher ma pitance dans les poubelles était une façon de se sanctifier, de marcher dans la voie de pauvreté franciscaine ! D’autres se mettent dans des couvents, ou se flagellent, ou font des pèlerinages à Lourdes. Tous les chemins qui éloignent du salut par la grâce au moyen de la foi mènent à Rome ! Le catholicisme est le système le plus perfectionné pour défigurer la grâce, et vous emmener dans un labyrinthe qui débouche sur la mort, la honte, la perversion sexuelle, la perte de votre temps et de votre énergie. C’est pourquoi comme Spurgeon nous devons répéter : « Pas de paix avec Rome » !
Notre devoir moral comme protestants c’est de haïr ce système et son antichrist. Le Vatican et son pape ; c’est la bête d’Ap. XIII : 1 à 10! La Bible et l’histoire sont les armes suffisantes pour détruire les arguments et les prétentions de cette organisation religieuse diabolique et politique. Et comme je ne cesse de le répéter, la violence physique est totalement exclue ; nous leur laissons les buchers, les salles de tortures et les complots… Nos armes sont spirituelles pas charnelles. Mais nous devons haïr l’antéchrist de tour et ses stratagèmes. Ce n’est pas une haine contre homme, mais contre un gouverneur des ténèbres de ce monde. S’il déposait sa triple tiare nous prierions pour lui mais tant qu’il est l’antéchrist romain qui siège au Vatican, nous ne pouvons ni ne devons l’aimer car il est la bête qui a pratiquement vaincu les saints au travers de sa politique œcuménique. Quant à l’hypothèse de la conversion d’un pape, elle ne tient pas debout car c’est le poste réservé à l’antichrist favori du diable, tout comme le poste de traitre était réservé à Judas Iscariote. (Cela d’ailleurs peut expliquer pourquoi Jean Paul I mourut avant de régner. Ce poste est réservé uniquement à des antichrists confirmés, ce qui n’était pas son cas apparemment…) Cette sainte haine est celle-là même que notre Seigneur Jésus démontra envers les pharisiens hypocrites. Or l’hypocrisie papale est encore pire que l’hypocrisie pharisienne, puisque les pharisiens ne faisaient pas semblant de croire en Jésus-Christ, tandis que nos pharisiens romains depuis des siècles commettent leurs abominations, leur idolâtrie, et célèbrent les massacres qu’ils fomentent au nom du Seigneur Jésus. (Un Te Deum fut célébré par le pape à Rome à l’occasion de la nuit sanglante de la St Barthélémy à Paris). De plus vu qu’ils adorent la créature (Marie) et la servent (le pape), Dieu les a livrés à des passions infâmes (Ro. I : 25 et 26), ce qui explique la présence de nombreux sodomites, lesbiennes, et pédophiles dans le clergé romain. Ce qui ne les empêche pas de jouer les conseillers matrimoniaux ! Comme disait notre cher Luther : « Je désire de tout mon cœur que vienne le jour où tous les monastères seront arrachés, détruits et abolis, vu qu’ils existent encore. Je voudrais que Dieu leur envoie une pluie de souffre et de feu qui consuma Sodome et Gomorrhe, et qu’elle les précipite au fond de la mer, pour que disparaisse même leur seul souvenir… Mais ces “ânes - papes” qui sont à Rome ne savent même pas qu’ils sont des ânes, ni même savent-ils s’ils sont des hommes ou des femmes… » Bien évidemment il faut aimer le pauvre peuple catholique et prier pour qu’il se repente de son idolâtrie. Cet amour peut même s’étendre jusqu’à certains prélats, mais il ne peut aller jusqu’au pape qui est l’antéchrist romain de tour, et qui sera, si je ne me trompe, un jour prochain l’Antichrist eschatologique ou le faux prophète ou les 2…
Je voudrais maintenant mentionner aussi un antéchrist notoire qui ne fut pas le pape mais l’homme dont le nombre est 666 (Ap. XIII : 18). Cet homme fut Hitler. (Pour calculer son nombre il suffit d’additionner les lettres de son nom en calculant cela sur la base de : a=100, b=101, c=102, d=103…z=125). Hitler est mort depuis plus de 70 ans et me direz-vous nous n’avons plus besoin de haïr cet antichrist. Cependant comme je viens de lire un excellent livre intitulé : « Torturés pour Christ » du pasteur Richard Wurmbrand, où dit-il durant l’occupation nazie il priait pour Hitler, tout comme il priait pour ses tortionnaires communistes après la guerre ; je me permets donc un bref commentaire là-dessus. Prier pour des tortionnaires qu’ils soient nazis ou communistes cela est un exemple admirable de la présence de Christ dans le cœur de nos frères violemment persécutés. Néanmoins sachant qu’Hitler était le 666, on sait que c’était des prières inutiles, car c’était comme prier pour la conversion du diable ! Tout comme on ne prie pas pour les morts, on ne prie pas pour la bête, ni pour celui dont le nom correspond au numéro de la bête, ni pour ceux qui recevront la marque de la bête !
Voyons maintenant quelques cas particuliers qui ne sont pas la bête (le pape) ou des antichrists notoires, mais des apostats certifiés. Heureusement ils ne sont pas nombreux, et ce sont comme nous l’avons signalé plus haut des personnes qui ont une connaissance profonde de la vérité, qui l’ont même goutée, mais l’ont rejetée. « Mon Dieu, rends les semblables au tourbillon…qu’ils soient confus et épouvantés pour toujours, qu’ils soient honteux et qu’ils périssent » disait David (Ps. 83), quant à Paul il disait simplement dans ce cas-là : « Le Seigneur lui rendra selon ses œuvres » (2 Tim 4 v 14). Il y a des apostats déclarés et des apostats discrets. Il y a par exemple le croyant qui durant des années confessa la foi calviniste puis un jour devint adventiste. Je me rappelle d’un tel cas et je ne le hais pas ; personnellement il me fait pitié, mais je ne prie pas pour lui, je préfère prier pour ceux pour qui il y a de l’espoir. Les apostats subtils sont du type Ananias et Saphira (Ac. V : 1 à 15). Ceux-là continuent de confesser le Seigneur avec leurs lèvres, mais leur cœur en est bien loin ; à leur propos David dit : « j’ai en haine ceux qui sont double de cœur » (Ps. CXIX : 113). Beaucoup ont un péché qu’ils ne combattent pas mais peu arrivent au point de vouloir mentir au Saint-Esprit (v. 3), ou Le tenter (v. 9) en proclamant la vertu justement opposée à leur vice comme le firent Ananias et son épouse. La majorité pense que ce couple était véritablement chrétien et que leur mort fut un discipline du Seigneur pour admonester les autres à ne pas tomber dans la même hypocrisie. Cependant je ne pense pas que cela soit le cas, car même si Satan nous trompe bien souvent ; il ne peut remplir notre cœur, car celui-ci est la demeure du Saint-Esprit, et qui pèche contre Lui directement n’est pas né de nouveau. De plus il n’y a pas eu de la part de Pierre un appel à la repentance sinon une condamnation, et une sentence qui ne leur donna pas le temps de se repentir.
Maintenant que signifie haïr ce genre d’apostats ? Est-ce entretenir des pensées malveillantes ou leur lancer des imprécations à tout bout de champ ? Bien sûr que non, le chrétien est appelé à bénir et pas à maudire, à aimer constamment et non pas à haïr constamment. Le Saint-Esprit verse dans nos cœurs l’amour, et non la haine pour le genre humain. Notre haine pour les antichrists ou pour les apostats est une manifestation de notre amour pour la Vérité, pour notre Seigneur. Avec le pape cette haine doit être luthérienne, c’est-à-dire constante et méthodique car nous savons qu’il est l’ennemi le plus acharné et le plus puissant de Christ, et nous croyons qu’il sera même l’Antichrist eschatologique durant la semaine 70 de Daniel. Il est toujours en train de planifier notre destruction, que ce soit comme antan par le bucher et la croisade, ou comme aujourd’hui par l’œcuménisme et la diplomatie. Nous devons donc être constamment sur nos gardes, ne pas le perdre de vue, analyser ses manigances, et l’attaquer sans cesse car bien souvent la meilleure défense quand on est en minorité c’est l’attaque, même si nous savons que la victoire finale sur l’Antichrist papal sera remportée par le Christ lui-même à son retour en gloire ! Pour ce qui concerne les apostats cette haine n’est pas constante, elle est circonstancielle. Si nous les rencontrons sur notre chemin ; nous les combattons spirituellement et nous ne les bénissons pas, ni ne prions pour eux car cela ne sert à rien puisqu’ayant crucifié le Christ une seconde fois ils ne peuvent être renouvelés encore pour arriver à la repentance (Hb. VI : 4 à 6). Voyons maintenant une autre sorte de haine très circonstancielle.
C’est la haine envers un frère en Christ ! Elle est parfois requise, et elle est toujours très brève, elle ne dure qu’un instant. Cet instant c’est quand le frère se laisse emporter par le diable et s’oppose directement à la vérité qui est en Christ, mettant en danger notre Cause commune. L’exemple type nous le trouvons dans Mt. XVI: 22, 23. Là nous voyons Jésus haïr un instant Pierre et le traiter de Satan ! A ce moment-là il n’est plus le « bienheureux Simon fils de Jonas » du verset 17, mais le diable, pas en personne, mais en esprit ! Notre Seigneur ne lui dit pas avec compassion: « Pauvre Simon, tu te trompes, écoute-moi STP ; Je vais t’expliquer ce qui se passe… ». Au contraire il le traite comme l’ennemi Numéro 1 et lui dit : « Dégage Satan ; tu m’es en scandale ! ». Il n’y a rien de pire que d’être traité de Satan, et il n’y avait donc aucun amour dans Ses paroles sinon une sainte haine. Cette sainte haine eut pour effet d’effrayer, et de chasser l’esprit du diable qui avait fait de Pierre à ce moment précis son avocat et son représentant !
Voyons maintenant la dernière sorte de haine sainte dirigée a notre propre chair. Jésus dit : « Si quelqu’un vient à moi, et ne hait pas son père, et sa mère, et sa femme, et ses enfants, et ses frères, et ses sœurs, et même sa propre vie, il ne peut être mon disciple » (Luc XIV : 26). Une fois de plus beaucoup essaient de minimiser le sens des paroles de notre Seigneur, et veulent interpréter le verbe haïr comme s’il s’agissait du verbe abandonner. Néanmoins tout comme aimer son prochain comme soi-même était un commandement que l’on trouvait aussi dans l’AT (Lv. XIX :18), on trouve aussi le commandement de haïr sa propre chair dans Dt. XIII : 6 à 10. Jésus n’est pas venir abolir la loi mais l’accomplir et nous permettre par le Saint-Esprit de l’aimer, et de nous y soumettre aussi (en ce qui concerne la loi morale). Donc il nous faut haïr véritablement nos parents ! Mais cela ne veut pas dire que c’est une haine constante, c’est la même sorte de haine sainte qu’exprima notre Seigneur Jésus avec Simon. C’est une haine qui surgit de l’amour de Dieu et qui donc ne se manifeste que quand un parent essaie activement de nous faire rompre la relation que nous maintenons avec Dieu par la foi en Christ. Cette haine sainte bien sûr se caractérise par son aspect sporadique. C’est juste quand le parent veut forcer le chrétien à renoncer à sa foi, et alors il est considéré comme un ennemi auquel il faut résister par la Parole ou par le silence, pas par les injures ou les coups car il est écrit : « Tu honoreras ton père et ta mère » (Dt. V : 16). Une fois que la tentative est passée de nous faire renoncer à notre foi, l’amour naturel reprend tout de suite ses droits, car celui qui n’aime pas ses propres parents comment va-t-il dire qu’il aime Dieu ? Mais c’est une condition sine qua non que celui qui n’est pas capable de haïr ses propres parents au moment où ils cherchent activement et ouvertement à lui faire renier sa foi, ne peut être disciple de Christ. Et je le répète c’est une haine sainte, pas sale ; une haine contrôlée par le Saint-Esprit et provenant de l’amour de Dieu au-dessus de toute créature. Evidemment Dieu ne nous demande pas de devenir des parricides ou des matricides ou de fratricides car nos armes ne sont pas charnelles ! Néanmoins combien de maris par amour pour une épouse incroyante, ou de pères par affection pour un fils incroyant trahissent leur Seigneur et perdent alors leur vocation, mais heureusement pas leur élection puisqu’elle est inconditionnelle. Comme dit l’Ecriture : « si nous sommes infidèles Il demeure fidèle car il ne peut pas se renier Lui-même » ! Ils n’ont pas su haïr leur propre chair quand il le fallait, et donc n’ont pas pu aimer leur Seigneur comme Il le demandait. Cela bien souvent a des conséquences dramatiques à longue échéance, car il y a des moments dans la vie ou il faut prendre une décision qui va déterminer le cours ultérieur du reste de notre existence ; rappelle-toi frère qu’« Il y a un chemin qui a l’homme lui parait droit ; mais sa fin est un chemin de mort ».
Pour terminer nous nous attaquerons au pire de tous les papes qu’il nous faut haïr sans cesse et avec détermination grandissante ; ce pape c’est notre propre égo, notre vieil homme, notre nature adamique qui hélas ne disparait pas à la nouvelle naissance, mais seulement à la mort ou au jour du Rapt. Ce petit pape est plus dangereux que tous les papes ensemble ! En effet le monde et le diable sont des ennemis qui par moment nous laissent en paix, par contre notre nature pècheresse ne nous laisse jamais en paix ; elle ne nous quitte jamais, ni même dans les moments de dévotion, ou de méditation de la Parole ; elle est toujours là, à l’affut, prête à rompre notre communion avec le Seigneur. C’est pourquoi Paul s’exclama : « Misérable homme que je suis qui me délivrera de ce corps de mort ? » (Ro. VII: 24).Ce corps de mort, cette réalité du péché qui trouve son siège dans notre pensée terrestre, charnelle, doit être haie systématiquement et continuellement. Il nous faut maintenir paralysé, crucifié, ce vieil homme qui ne pense qu’à des choses terrestres. Celui qui aime sa vie en ce monde la perdra dit le Seigneur, car notre vie est en Christ, et elle se manifestera pleinement dans le monde à venir. Ici-bas elle est en gestation ! Il nous faut donc marcher par la foi non par la vue, marcher selon l’esprit et non selon la chair. Cela demande de haïr cette nature pècheresse qui ne voit pas plus loin que ses petits intérêts mondains. Celui qui ne hait pas cette vieille nature, c’est qu’il n’est pas né de nouveau. Voilà la haine sainte qu’il nous faut attiser sans cesse. Il y a en effet un combat intérieur perpétuel dans la vie du chrétien, entre le vieil homme et le nouvel homme, entre la pensée charnelle et la pensée spirituelle. Heureusement Dieu nous a donné l’Ecriture et dans Sa loi nous pouvons nous voir comme dans un miroir, et nous rendre compte de notre état précaire en ce monde, de la sainteté de notre Dieu, et de notre tendance à nous en dévier à peine cessons-nous de diriger notre regard sur l’Auteur et le Consommateur de notre foi. Sachons aimer et sachons haïr, car « il y a une saison pour tout, et il y a un temps pour toute affaire sous les cieux…un temps d’aimer et un temps de haïr ; un temps de guerre et un temps de paix » (Ec. III : 1 et . Que Jéhovah nous donne sagesse et discernement pour faire ce qu’il convient au temps voulu. Comme dit 1 Co. XVI : 22 :« Si quelqu’un n’aime pas le Seigneur Jésus qu’il soit anathème ! Maranatha».