Radicalement Protestant
  LES 5 POINTS
 

LES 5 POINTS

      L’apostasie finale que Paul prophétisa, (2 Thes. II ; 3), a plusieurs origines. Toutefois je maintiens fermement que l’introduction de la télé dans les foyers protestants est le principal facteur de ce phénomène, car la ruine morale qui découle de l’effondrement du modèle patriarcal de société invalide le témoignage chrétien. En introduisant la TV à la maison le chrétien biblique a aussi introduit directement l’impudicité et la fornication sous son toit, car tous regardent placidement, durant la publicité qui suit ou précède les infos de 20h, la prostituée qui se trémousse toute nue sous la douche, exaltant les bienfaits de la dernière marque de savonnette! L’évangélique moderne s’est soumis volontairement durant des décades au lavage de cerveau télévisé et maintenant il gobe tout : la prostituée de la savonnette durant les infos de 20h, la pasteurette en chaire, et ses filles en pantalon et cheveux courts. Cette sorte de chrétien ne pose pas de problème à Satan ; il ressemble tellement au monde qu’il n’y a pas de risques qu’il impressionne ou change le monde avec ses autocollants sur le coffre de sa voiture, ou son culte dominical à l’église du coin. La chrétienté unisexe et en bikini sur les plages n’a aucun pouvoir contre la chair, le monde et Satan. Le problème pour le diable peut se présenter quand le chrétien biblique conserve une morale biblique et un ordre patriarcal à la maison. Satan ne peut plus les accuser de voyeurisme ou de féminisme et donc il s’efforce d’émousser le fil de leur épée de peur qu’ils ne l’affrontent et le vainquent publiquement. Le chrétien dont la morale est sans tâche et qui connait bien la doctrine peut écraser l’ennemi sous ses pieds s’il marche en esprit. Hélas comme dit l’Ecriture : « Mon peuple fut détruit parce qu’il lui manqua de la connaissance ». De quelle connaissance s’agit-il ?

     Aujourd’hui il ne s’agit certainement pas de la connaissance de la Trinité, ni même de la connaissance du salut par la foi, ou de  l’œuvre que le Saint-Esprit doit accomplir dans le croyant. Toutes les dénominations évangéliques et trinitaires prêchent ces doctrines fondamentales. Néanmoins il y a 5 doctrines de base qu’aucune dénomination ne prêche systématiquement et inlassablement. Je me réfère aux 5 points du calvinisme. C’est chose normale me direz-vous puisque la majorité des églises évangéliques est arminienne et soutient donc le contraire de ce qu’affirment ces 5 points., tout en évitant soigneusement de dire à leurs fidèles qu’ils sont arminiens, car l’arminianisme fut considéré comme une hérésie dans le camp protestant au XVIIème siècle. En effet à cette époque Jacob Arminius, un pasteur et théologien hollandais qui était calviniste au départ, ramena cette hérésie pélagienne de Rome, où il eut des contacts avec les jésuites, selon ce que nous dévoila Augustus Toplady. Je ne vais pas revenir sur ce complot jésuite qui injecta la drogue arminienne dans le corps du protestantisme, afin de l’endormir et ensuite l’absorber. Pour ceux qui sont intéressés sur ce complot et son développement au cours des siècles, développement qui débouche sur le mouvement œcuménique actuel, je leur conseille l’article intitulé : « L’arminianisme : la route à Rome ». Mon but présentement étant de montrer l’urgence qu’il y a d’apprendre aux néophytes les 5 points du calvinisme. Rappelons tout d’abord à nos lecteurs quels sont ces 5 points :

 1 l’élection inconditionnelle.

2 l’expiation limitée

3 la dépravation totale de l’homme naturel.

4 la grâce irrésistible

5 la persévérance finale des saints.

     La raison pour laquelle j’écris aujourd’hui cet article est que même dans les églises qui se disent calvinistes ces 5 points ne sont plus enseignés publiquement et systématiquement. Ils sont relégués dans les salles de classe des instituts et séminaires chargés de la formation des pasteurs et des « pasteurettes » ! En effet la croyance générale est que ces 5 points ne sont pas assimilables pour les  croyants qui débutent dans la foi, et sont donc réservés aux « spécialistes ». Ce sont des points qui ne se discutent qu’entre ministres et révérends, et le peuple n’est pas à la hauteur de telles discussions. Vu sous un certain angle cela me parait  une insulte au Saint-Esprit qui demeure dans tous les cœurs des croyants nés de nouveau et les rends capables de comprendre ces 5 points… Nos pasteurs salariés savent cela mais ils préfèrent maintenir les fidèles dans une enfance perpétuelle, car un enfant c’est toujours plus facile à manipuler et à exploiter qu’une personne adulte. Nous avons vu des frères et des sœurs assis depuis plus de 20 ans sur les bancs d’églises presbytériennes ou baptistes qui ne sont toujours pas au courant que l’expiation est limitée à un nombre précis d’élus. Ils n’ont toujours aucune idée de la portée de l’œuvre de Christ sur la croix, ou de la magnitude des dégâts occasionnés par le péché originel. S’ils se contentent de l’enseignement pastoral ces frères et sœurs sont tous des retardés spirituels, ils souffrent tous de rachitisme chronique sévère dans la connaissance de la grâce de Dieu. Si tu demandes à un pasteur le pourquoi de cet état de choses, il te répondra généralement qu’il vaut mieux ne pas entrer dans des thèmes complexes qui peuvent susciter des controverses, et même des dissensions et des disputes inutiles. L’esprit œcuménique infiltré par les jésuites dans les séminaires protestants où se forment leurs « pasteurettes » et leurs pasteurs, a imposé la politique de maintenir les croyants dans des limbes doctrinaux qui évitent les chocs entre croyants, et assure ainsi un fonctionnement souple et sans accrocs de la machinerie religieuse laodicéenne. Ce qu’ils veulent ignorer à leurs dépens, c’est que quand ils diront « paix et sécurité », alors une ruine soudaine les surprendra : 1 Thes. V ; 3 ! Je suis désolé de le constater et je suis loin d’être le seul, car même les gens du monde le constatent souvent ; les pasteurs aujourd’hui ne le sont plus par vocation mais par profession, car l’important c’est le salaire, la sécu, la retraite à 60 ans, et s’il y a eu dans certains cas une vocation au départ, s’ils restent dans le ministère dans le cadre officiel, au bout de quelques années ce n’est plus pour combattre ardemment pour la foi mais pour accumuler les points retraite! Il y a bien sûr des exceptions qui brillent au milieu de la masse, et  à ceux-là le respect leur est dû ; leurs efforts ne seront pas vains, et ils seront couronnés par leur Seigneur. Je parle ici de la majorité ; ce ne sont que des marchands du temple et leur condamnation sera plus sévère que celle de leurs fidèles qui se laissent docilement exploiter et se contentent d’un lait frelaté, car croitre implique aller au front et ce n’est pas au goût du jour…

     Je ne me lasse pas de répéter ce que disait A. Toplady : l’arminianisme est la route de retour à Rome, et de rajouter que dans son dernier tronçon elle se transforme en autoroute néo pentecôtiste ; laquelle rejoint le périphérique charismatique de Rome. En effet le pentecôtisme est toujours arminien dans sa sotériologie, et si Dieu a de nouveaux messages à donner à son peuple, de quel droit peuvent les pentecôtistes dire aux charismatiques catholiques que leurs visions angéliques sont divines tandis que les apparitions de la reine des cieux sont sataniques ? Ils sont sur la même voie et qui se ressemblent s’assemblent ! De même l’arminianisme n’est qu’un sous-produit du semi-pélagianisme que soutient la papauté, et tous 2 sont empreints d’humanisme. Par contre le calvinisme dans son essence est totalement réfractaire à l’humanisme, et rend donc son absorption très difficile, voire impossible, pour le catholicisme. C’est pourquoi les séminaires calvinistes ont été infiltrés par les jésuites, et maintenant les « pasteurettes » qui en sortent sont programmées pour briller par leur érudition et leur éloquence, mais certainement pas pour enseigner l’antidote des 5 points du calvinisme aux brebis qu’elles doivent tondre en douceur.  Nos révérends et nos « pasteurettes » sont en effet tous d’accord que ces 5 points  provoquent des dissensions, et des controverses inutiles, et qu’en prime ce sont des thèmes trop complexes pour un jeune croyant. Mais c’est faux car 1 Cor. XI ; 19 dit au contraire : « il faut aussi qu’il y ait des dissensions parmi vous, afin que soient manifestes ceux qui sont approuvés », et les 5 points sont le catalyseur par excellence pour manifester le vrai évangile. De plus ces 5 points ne sont pas du tout difficile à comprendre si l’on utilise un vocabulaire adapté à l’auditoire. Si tu t’adresses à des enfants de 10 ans et que tu leur dis : 1 Dieu choisit ses enfants sans regarder leurs défauts, 2 le Seigneur Jésus n’est pas mort pour Judas Iscariote ni pour le pape, 3 nous sommes tous vendus au diable, tous complétement mauvais, méchants et stupides de nature, 4 quand Dieu décide de sauver une personne ; rien ni personne ne peut L’arrêter, 5 celui qui a vraiment cru en Jésus, mourra en croyant en Jésus, et bien tous comprendront facilement un tel langage. Il n’y a pas besoin d’aller à un séminaire biblique pour assimiler de telles assertions. Une fois que le crédo des apôtres a été assimilé, que les 10 commandements ont été mémorisés, il faut de suite inculquer les 5 points du calvinisme. Mais  cela n’est pas le programme du pastorat car il faut maintenir les croyants dans un état infantile afin de pouvoir les manipuler.

      C’est un peu comme quand les jésuites avaient le contrôle politique du Paraguay ; ils ne voulaient pas que leurs sujets apprennent l’espagnol, car alors ils auraient pu communiquer avec leurs voisins d’Argentine, du Chili de l’Uruguay et se rendre compte qu’ils étaient sous un joug étouffant. Il valait mieux qu’ils ne parlent que leur dialecte et dépendent des pères jésuites pour toute information dépassant le cadre des affaires courantes. Ainsi l’information était filtrée, et l’éducation contrôlée et tout un peuple resta soumis plus d’un siècle dans la plus crasse ignorance. Croyez-vous que ce soit un hasard qu’au XXIème siècle le Paraguay fût le seul pays au monde à élire pour président un évêque en fonction ? Bien sûr que non ; l’héritage pèse toujours sur cette pauvre nation !  Dans les églises protestantes ce n’est pas un héritage jésuite sinon une percée de l’esprit jésuite qui induit les pasteurs à maintenir le peuple dans l’ignorance des 5 points du calvinisme.

     Ces 5 points doivent être appris une fois que le dogme de la très sainte Trinité a été inculqué, car muni de ces 5 points n’importe quel enfant dans la foi peut détecter les faux évangiles qui de nos jours abondent. Et non pas seulement appris sinon parfaitement mémorisés. Une fois que cela aura été assimilé et gravé dans sa mémoire, aucun érudit, ou théologien, ou grand évangéliste se présentant avec l’évangile arminien-pentecôtiste à la mode ne pourra l’impressionner au point de le faire tomber dans la fosse œcuménique. En demandant à cette éminence si elle croit que Jésus est mort pour Judas ou pour Hitler, le jeune croyant saura tout de suite en cas de réponse affirmative que cette éminence est une imposture. Elle aura beau savoir le grec koïnè et l’hébreu classique, cette personne sera peut-être un frère bien confus, mais certainement pas un maitre pour ce jeune croyant. Armé de ces 5 points un néophyte détecte de suite les faux évangiles et les faux docteurs. Ainsi donc les 5 points du calvinisme ne sont pas des thèmes de salon réservés aux théologiens, mais ils sont l’armure indispensable de tout protestant néophyte ou vétéran.

     Le croyant à peine est-il né de nouveau qu’il est enrôlé automatiquement dans l’armée du Roi des rois, et ceux qui sont chargés de lui faire faire ses classes ont le devoir de l’emmener à l’armurerie royale, et l’équiper avec la cotte de mailles de 5 points qui ne laisse pas passer les flèches de la fausse doctrine ! Ce que tu as reçu tu as le devoir de le partager et tu recevras davantage, avec le plaisir de voir par cela même s’effondrer les places fortes de l’ennemi. Nos pauvres frères qui n’ont pas été revêtus de cette cotte de maille de 5 points ne perdent pas leur salut, puisque comme dit le 5eme point : la persévérance des saints est assurée jusqu’au bout par le Saint-Esprit qui demeure en nous, mais bien qu’ils ne perdent pas la guerre ; ils perdent de nombreuses batailles, ils n’atteignent pas la stature à laquelle ils sont appelés, ils se trainent honteusement sur le chemin au lieu de piétiner l’ennemi sous leurs pieds, et se dirigent sans le savoir vers l’abattoir œcuménique que leur a préparé le jésuite François 1er !  (Dans un commentaire récent cet antéchrist de tour a affirmé que les croyants  attachés à leur idéologie sont des malades qui n’ont rien compris à l’amour du Christ. Pour l’instant la décapitation n’est pas le remède proposé, mais cela ne tardera pas : Ap. XX ; 4…)

    C’est pourquoi mon frère, si tu as le privilège de connaitre le véritable évangile, celui des protestants calvinistes, tu as le devoir de t’assurer que ceux qui t’écoutent sachent très vite qu’il y a 5 points qui font que ton évangile est différent de celui qui est à la mode. Cette cotte de mailles s’adapte parfaitement au croyant nouveau-né. Elle est faite à sa mesure mais si tu laisses passer le temps pour l’en revêtir ; le pentecôtisme et l’arminianisme régnants, ainsi que d’autres hérésies, peuvent produire en lui des déformations qui empêcheront ce croyant de se revêtir aussi facilement de cette protection comme dit Prov. XXII ; 6 : « Instruis  l’enfant dans la voie qu’il doit suivre ; et quand il sera vieux, il ne s’en détournera pas »  II faut donc insister lourdement sur ces 5 points du calvinisme dès le début et ne pas se contenter d’un crédo et du Décalogue car il est appelé au combat dès que l’Esprit est entré en lui. La vie chrétienne est un champ de bataille et non une ballade au supermarché comme le prétend le néo-pentecôtisme…

      La stratégie du diable au moyen de ses pasteurs œcuméniques est au contraire d’éviter ces 5 points. C’est une vieille technique puisque Spurgeon en parlait déjà au XIXème siècle. Ci-joint un extrait de son dernier un sermon intitulé « Le salut de départ d’un ministre », qu’il fit en 1859 au Music-Hall, à Londres :

«Maintenant je dois actualiser les paroles de l’apôtre et les appliquer à ces temps modernes ; et pour ma part j’assume que si quelqu’un d’entre nous veut laver sa conscience et transmettre tout le conseil de Dieu, il doit prendre soin de prêcher en premier lieu les doctrines de l’évangile… Je remets en question que nous prêchions tout le conseil de Dieu à moins que l’on déclare continuellement la prédestination avec toute sa solennité et certitude, à moins que l’on enseigne vaillamment et sans détour l’élection comme une des vérités révélées par Dieu. Partant de cette source, c’est un devoir du ministre de recourir tous les autres torrents et de réfléchir sur l’appel efficace, de soutenir la justification par foi, d’insister sur la sure persévérance du croyant. Et de se réjouir de proclamer ce pacte de grâce dans lequel toutes les choses sont contenues, lequel est sûr pour toute la descendance, choisie et achetée à prix de sang. Il y a une tendance en cette époque à cacher dans l’ombre la vérité doctrinale. Trop de prêcheurs se sentent offensés par cette sévère vérité que les signataires du pacte écossais de la réforme soutenaient, et au sujet de laquelle les puritains rendaient témoignage au milieu d’une époque licencieuse. On nous dit que les temps ont changé ; que nous devons modifier ce qu’ils appellent « les vieilles doctrines calvinistes », et les adapter au goût du jour ; qu’en fait elles doivent être diluées, que les hommes sont devenus  si intelligents que nous devons limer les aspérités de notre religion, et faire d’un carré un rond grâce à un travail d’arrondissement des angles plus proéminents. Quiconque fait cela, à mon avis ne déclare pas tout le conseil de Dieu. Le ministre fidèle doit être clair, simple et concret pour ce qui concerne ces doctrines. Il ne doit y avoir aucune dispute sur le fait de savoir s’il les croit ou non. Il doit les prêcher de telle façon que ses auditeurs puissent distinguer s’il prêche un schéma de libre-arbitre ou un pacte de grâce, s’il enseigne le salut par les œuvres, ou le salut par le pouvoir et la grâce de Dieu.»

Ajoutons à cela les premières paroles qu’il prononça  quand il commença à prêcher au Tabernacle Métropolitain de Londres :

« Je veux proposer que le thème du ministère de cette église, tant que je resterai debout à ce pupitre et qu’il y a des fidèles qui s’y réunissent,  soit la personne de Jésus-Christ. Jamais je n’ai honte de reconnaitre que je suis calviniste ; je ne doute pas de me présenter comme baptiste … »

C’est ce qu’il fit durant 40 ans et son ministère fut grandement béni par Jéhovah. Il utilisait parfois la doctrine de la prédestination pour  évangéliser, ce qui est aujourd’hui considéré comme la pire chose à faire. Cependant on connait l’arbre à ses fruits, et le ministère de Spurgeon ne laisse aucun doute sur l’inutilité de la prédication moderne qui laisse dans des limbes doctrinaux ses adeptes humanistes. La situation aujourd’hui est bien plus grave qu’au temps de Spurgeon et aujourd’hui le calvinisme est considéré comme une hérésie, et l’hérésie arminienne comme la foi apostolique.

     Notre prêche ne va pas changer le cours des évènements qui ont été prédestinés, et l’Apostasie envahissante ne va pas se retirer du corps des églises évangéliques, sinon qu’elle va s’étendre de plus en plus jusqu’à rendre illégale toute église fidèle sous prétexte qu’elle incite à la haine et la ségrégation. Néanmoins quand une porte se ferme, Dieu ouvre une fenêtre. Il est évident que l’ère des églises touche à sa fin, mais il est tout aussi évident que la connaissance de la vérité et sa diffusion a augmenté exponentiellement par les moyens de communications modernes, spécialement dû au fait de l’apparition de l’internet. L’Histoire se répète car durant les persécutions impériales des 5 premiers siècles, les voies romaines facilitèrent grandement la diffusion de l’évangile ! Aujourd’hui  les protestants radicaux n’ont pas leur place dans les églises et dans les séminaires mais le réseau internet diffuse  leur proclamation de l’évangile pur. Il y a donc un champ libre pour la prédication indépendante, et la formation de petits cercles de protestants radicaux qui comme Spurgeon font flotter la bannière de l’évangile véritable. Nous sommes réduits à une stratégie de guérilla, mais comme nos armes ne sont pas charnelles mais puissantes par la vertu de Dieu, nous pouvons abattre bon nombre de forteresses de l’ennemi, si nous sommes fidèles dans notre prêche, si nous n’arrondissons pas les angles de notre doctrine pour plaire aux humanistes et aux œcuméniques qui nous entourent. Veillons à bien démarquer notre campement par les 5 points du calvinisme, et ne craignos pas nos adversaire car Jéhovah est avec nous. Le temps presse ; la plénitude des gentils aura bientôt fini de rentrer dans le bercail du Seigneur, la voix de l’archange va bientôt se faire entendre nous disant : « Montez vers les cieux ». En attendant attaquons sans cesse les positions ennemies, revêtus de notre cotte de mailles et brandissant l’épée de l’Esprit ; leur protection s’est retirée de dessus eux, nous en feront notre pain et Jéhovah est avec nous …

     Maranatha.    

 
 
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